Manchester City a lancé une bataille juridique explosive contre la Premier League, accusant l’organisation de favoriser certains clubs avec un traitement préférentiel de 1,4 milliard de livres sterling. Cette révélation choquante survient alors que City fait face à 115 violations des règles de fair-play financier, une question distincte de cette dernière accusation.
La lutte juridique remonte à 2024 lorsque Manchester City a remporté une affaire contre les règles de Transaction de Partie Associée (APT) de la Premier League. Le club avait allégué de la discrimination après que leurs accords avec Etihad Airways et First Abu Dhabi Bank aient été bloqués en 2023, conduisant à l’invalidation des règles de parrainage de la Premier League.
Dans une plainte détaillée de 88 pages, City a nommé Arsenal, Brighton & Hove Albion, Everton et Leicester City comme les bénéficiaires des pratiques présumées injustes de la Premier League. Les accusations incluent une assistance financière substantielle accordée à ces clubs, Arsenal ayant reçu 259 millions de livres sterling en prêts, Brighton 406,5 millions de livres, Everton 450 millions de livres et Leicester 265 millions de livres, tous durant diverses saisons.
City soutient que ces sommes énormes ont donné aux clubs mentionnés un avantage économique significatif qui n’a pas été examiné selon les mêmes normes que les revenus liés au parrainage de City. Si City réussit dans cette bataille juridique, cela pourrait potentiellement renverser les réglementations financières de la Premier League, entraînant des sanctions pour les clubs impliqués.
L’affaire sera traitée par un panel comprenant Sir Nigel Teare, Lord Dyson et Christopher Vajda KC, qui a précédemment statué en faveur de City. Si Manchester City triomphe à nouveau, cela pourrait avoir des implications considérables sur le paysage financier du football anglais.
Restez à l’écoute pour les dernières mises à jour sur cette confrontation juridique à enjeux élevés qui pourrait remodeler le cadre financier de la Premier League et tenir les clubs responsables de leur traitement préférentiel présumé.